Championnat du monde junior 2024 : aperçu de la poule B

Soumia

Aujourd’hui, c’est enfin le jour. À 12h00, heure néerlandaise, le Championnat du monde junior 2024 débutera officiellement avec le match Slovaquie – République tchèque. Le jour de Noël, SportAmerica vous a déjà offert une rétrospective détaillée de l’édition 2023 et un aperçu de la poule A. En ce jour d’ouverture, c’est au tour de la poule B. La poule dans laquelle se trouve Team USA, le grand favori.

POULE B

TEAM USA

Nous avons déjà avoué un coup de chapeau hier, mais Team USA envoie l’une des meilleures équipes de tous les temps au CMJ. Favoris absolus, ils cherchent à poursuivre la série d’or de 2021.

Avec une attaque extrêmement profonde, une ligne bleue flexible et un tandem de haut niveau entre les poteaux, il semble que les hommes de l’entraîneur David Carle reviendront à la maison avec une médaille d’or. Surtout après la médaille de bronze obtenue lors du médiocre CMJ 2023, les « Stars and Stripes » sentent le sang couler.

DES AMIS DE LONGUE DATE AU CŒUR DE L’ATTAQUE DE MARIAN TROUGH

Vous avez de la profondeur. Il y a la profondeur. Et puis il y a Team USA. Lorsque votre deuxième ( !) ligne est composée des copains Gabe Perreault (New York Rangers) – Will Smith (San Jose Sharks) – Ryan Leonard (Washington Capitals), vous pouvez vous asseoir tranquillement pendant soixante minutes. Les trois se connaissent depuis qu’ils sont entrés en même temps dans l’USNTDP et qu’ils se sont débarrassés de la concurrence sous le maillot tricolore. Cela s’est-il arrêté là ? Cette saison, ils font tous partie de l’équipe du Boston College en NCAA. Bilan : 66 points en 17 matches.

Le plaisir ne s’arrête pas là, d’ailleurs, pour les Américains. Sur la première ligne, Carle a si ce n’est plus d’atomes crochus que sur la deuxième ligne. Rutger McGroarty (Winnipeg Jets) – Cutter Gauthier (Philadelphia Flyers) – Jimmy Snuggerud (St. Louis Blues) est sans doute la meilleure formation du CMJ. Mais le plaisir ne s’arrête pas là. Trois amis, tous de l’USNTDP. Deux lignes. Six noms. Tous choix du premier tour. Puis-je vous parler, docteur ?

Avec Isaac Howard (Tampa Bay Lightning) – Frank Nazar (Chicago Blackhawks) – Gavin Brindley (Columbus Blue Jackets) sur la troisième ligne, le staff technique opte pour quelque chose de moins la pédale au plancher. Le centre Nazar, en particulier, est un joueur à double sens typique, et avec les rapides Howard et Brindley sur les flancs, les Américains peuvent également retourner la carte.

UNE LIGNE BLEUE PARFAITEMENT ÉQUILIBRÉE

Pour compenser quelque peu la violence offensive, les Américains ont aligné une équipe parfaitement équilibrée à la ligne bleue. La paire de tête est composée de Lane Hutson (Canadiens de Montréal), très offensif, et de Ryan Chesley (Washington Capitals), qui ferme la porte à double tour. Derrière eux, un sous le feu des projecteurs qui pourrait bien devenir la révélation du tournoi. Zeev Buium – Seamus Casey (New Jersey Devils) sont deux joueurs de haut niveau. de la balle. en matière d’attaque. Avec les six premiers en attaque, le staff technique a de nombreuses possibilités de varier et d’expérimenter.

Entre les poteaux, de loin le(s) meilleur(s) gardien(s) du tournoi. La bataille pour le rôle de titulaire se jouera entre Trey Augustine (Detroit Red Wings) et Jacob Fowler (Canadiens de Montréal). Augustine évolue à l’Université d’État du Michigan dans la NCAA avec un taux d’efficacité de .916 et une moyenne de 2,97 sur le vélomoteur, mais il devra faire face à une concurrence redoutable de la part de Fowler. Le troisième ronde de 2023 joue la carte de l’excellence au Boston College (.925 sv%, 2.16 GAA) et affiche un bilan impressionnant de 13-3-1 à ce jour record. Eenemienemutte pour les entraîneurs.

De haut en bas et de gauche à droite. Tout est bon dans cette équipe américaine. La pointe de l’iceberg USNTDP. L’or est tout ce qui compte et s’applique à ce lot.

Source : Eliteprospects

TEAM TSJECHIE

La composition de l’équipe de la République tchèque au début du WJC à Göteborg est d’un calibre différent de celui de l’équipe qui s’est inclinée face à l’équipe du Canada après prolongation en finale il y a 12 mois. Cinq des piliers de l’équipe sont absents, tout comme le gardien de but titulaire.

Avec une équipe qui joue ses matches dans le monde entier, les Tchèques ont aidé pendant des années. La ligue nationale récolte les fruits de l’envoi de ses espoirs (haut de gamme) aux quatre coins de la planète. Néanmoins, les Européens abritent à nouveau cette année un certain nombre de prospects promis à une belle carrière en NHL.

JIRI KULICH CONDUCTEUR DU TRAIN DE L’OFFENSIVE

Par rapport à la liste de l’année dernière, six noms reviennent dans cette édition : Jiri Kulich (Buffalo Sabres), Eduard Sale (Seattle Kraken), Matyas Sapovaliv (Vegas Golden Knights), Robin Sapousek, Tomas Hamara (Ottawa Senators) et Ales Cech. Le leader incontesté de la meute sera Jiri Kulich. L’espoir de Buffalo a terminé deuxième au classement du CMJ 2023 avec sept buts et sera réuni sur la première ligne avec Eduard Sale et Matyas Sapovaliv. Le trio a déjà disputé plusieurs tournois internationaux ensemble et permet à l’entraîneur Patrik Augusta d’assurer la continuité de l’équipe.

Sur la deuxième ligne, « certains » joueurs du premier tour de la 2024 Entry Draft. Dominik Rymon, Ondrej Becher et Robin Sapousek se connaissent depuis plus longtemps qu’aujourd’hui et jouent tous les trois dans la Western Hockey League. On demandera beaucoup à Rumon et à Becher, surtout en supériorité numérique. Tous deux ont des qualités de « Ovi-Office » et sont régulièrement sur la feuille de match. Sur la troisième ligne, avec le trio Zidlicky – Redlich – Bares, c’est surtout le forecheck qui est à l’honneur.

LIGNE BLEUE BAMBI MAIS PLAFOND ÉLEVÉ

La ligne bleue tchèque est l’une des moins expérimentées du prochain WJC. Pourtant, tout le monde s’accorde à dire que la défense fait partie des trois meilleures du tournoi en termes de plafond. Les six noms sont assez homogènes et donnent des cheveux blancs à l’équipe d’entraîneurs.

Selon toute vraisemblance, Tomas Hamara (Ottawa Senators) formera la première paire avec son homonyme Tomás Cibulka – c’est le tréma qui le dit -. Hamara est le seul de la ligne bleue à avoir de l’expérience et ses qualités de joueur en font le bouchon idéal. Le « point négatif » pour l’entraîneur Augusta est qu’ils sont tous deux orientés vers l’attaque, bien que Hamara ait été régulièrement utilisé comme verrou de la porte dans le passé.

Derrière le duo de tête, deux noms méritent d’être mentionnés. Tomas Galvas est décrit dans les médias locaux tchèques comme l’un des garsmais en Amérique du Nord, les rapports des recruteurs brossent un tableau très différent. Un joueur de ligne bleue, le Tchèque lit le jeu comme personne et est le quart-arrière idéal à la fois sur le jeu de puissance et à 5 contre 5. L’autre nom qui pourrait vous évoquer quelque chose est celui d’Adam Jiricek. Il s’agit en effet du petit frère de David, l’espoir des Blue Jackets. L’actualité a été marquée par le coup de filet dont a été victime le jeune joueur de ligne bleue en République tchèque, son pays d’origine. En partie à cause de cela succès a relancé la discussion sur la fixation d’une limite d’âge pour les compétitions.

Entre les poteaux, les Européens ont pas mal de talent. Michael Hrabal (Arizona Coyotes) sera sans aucun doute le titulaire. Avec un Hlinka Gretzky U18 et un WC U18 à son actif, les Tchèques ont un poste de luxe. Surtout si l’on ajoute Jakub Vondras (Carolina Hurricanes) derrière lui.

Source : Eliteprospects

TEAM SLOVAKIA

A l’instar de ses amis américains et allemands, la fédération slovaque de hockey trace une nouvelle voie. Un chemin qui a d’ailleurs fait l’objet de notre rubrique NHL At The Rink il y a quelques mois. Les Européens voudront tout faire pour viser haut lors de cette édition.

Avec un certain nombre de recrues de la NHL dans les rangs et une star entre les poteaux, entre autres, nous avons un excellent outsider pour une nouvelle médaille à disputer.

L’ATTAQUE EST LA MEILLEURE DÉFENSE

La force de cette équipe slovaque réside dans ses lignes d’attaque. Malgré le fait que les deux premiers recrutés de 2022 – Juraj Slafkovsky et Simon Nemec – ne sont plus disponibles, les Européens pourraient bien avoir le plus grand nombre de sélectionnés de l’histoire de l’équipe slovaque.

Le joueur qui attire le plus l’attention est Dalibor Dvorsky. Ce centre de 17 ans a fait ses débuts en Extraliga slovaque en février 2021 et a immédiatement effacé des tablettes un record vieux de 24 ans. À 15 ans ( !), sept mois et 18 jours, ce grand espoir est devenu le plus jeune buteur de l’histoire de la première ligue slovaque. Avec un bon tir, une bonne vue d’ensemble et une incroyable capacité d’adaptation, il est devenu le plus jeune buteur de l’histoire du championnat slovaque. maniement de la crosse le nec plus ultra voler pour les St. Louis Blues. La franchise basée dans le Missouri a choisi le Slovaque comme dixième au total lors de la séance de sélection de 2023. Avec ses coéquipiers Alex Ciernik (Philadelphia Flyers) et Martin Misiak (Chicago Blackhawks), le trio fait preuve de vitesse et de qualité.

Samuel Honzek (Calgary Flames) est le « Dalibor Dvorsky de la deuxième ligne ». Ce grand géant sympathique se transforme en Yéti lorsqu’il entre sur la glace et possède une excellente vitesse sur patins malgré sa taille. Le partenaire le plus connu de Honzek est Filip Mesar (Canadiens de Montréal). En 2022, le ailier un peu moins de vingt minutes après premier au classement général Juraj Slafkovsky a également été amené à Montréal. Ce n’est pas tout à fait une coïncidence si les deux sont des copains de cœur.

L’ABSENCE DE SIMON NEMEC SE FAIT SENTIR SUR LA LIGNE BLEUE

La pilule a dû être amère pour les supporters slovaques lorsque Simon Nemec a été promu du système des New Jersey Devils vers la NHL. Le WJC lui échappe donc et la Slovaquie devra construire sa défense sur les épaules de Maxim Strbak (Buffalo Sabres) et Luka Radivojevic la semaine et demie prochaine.

Strbak est le seul joueur de ligne bleue repêché et c’est un joueur polyvalent qui peut jouer un rôle déterminant tant sur le plan offensif que défensif. Après Simon Nemec, c’est Luka Radivojevic qui attire l’attention en défense. Bien que le jeune joueur de ligne bleue ne soit disponible que lors de la draft 2025, les recruteurs suédois font la queue pour observer le jeune Slovaque. Sa créativité et ses qualités de quart-arrière sont particulièrement intéressantes.

Entre les poteaux, c’est Adam Gajan (Chicago Blackhawks) qui fait parler de lui. Le gardien a été choisi l’été dernier comme premier tight end de la Entry Draft – 35e au total – et possède tout ce que l’on attend d’un gardien. Avec ses 1,93 mètre et ses mouvements fluides dans la peinture il est difficile à battre.

Cette édition ne sera pas aussi forte qu’en décembre 2022. Il n’en reste pas moins que cette équipe slovaque compte un certain nombre d’espoirs de haut niveau qui donnent à la réforme du hockey slovaque une note de dix avec une épingle. Qui sait, il y a peut-être une cascade et les Européens tomberont à nouveau dans les médailles.

Source : Eliteprospects

ÉQUIPE SUISSE

Les médias américains décrivent irrévérencieusement la Suisse comme un « chewing-gum sous la chaussure ». Vous marchez dessus et il vous colle à la peau jusqu’à ce que vous fassiez quelque chose ou que vous ayez la chance qu’il s’envole rapidement. Cela résume assez bien l’état de la liste suisse.

La poule B est une poule difficile comprenant le favori Team USA et les outsiders République tchèque et Slovaquie. Derrière la Suisse se trouve le nouveau venu Team Norway, qui, si tout se passe normalement, sera le dernier du groupe. Les Suisses manquent toutefois d’une véritable star en leur sein.

MOYENNE DE L’ATTAQUE

La Suisse n’a jamais vraiment été une poids lourd a été. Cette année n’est pas différente. L’une des figures de proue des lignes offensives est Miles Müller. Cet attaquant polyvalent joue pour les Moncton Wildcats dans la QMJHL et marque en moyenne plus d’un point par match cette saison. Il a fallu un certain temps à « MM » pour convertir ses qualités en points sur la scène internationale, mais il a beaucoup progressé à cet égard au cours des derniers mois. Après 2023, il s’agira de son deuxième CMJ.

Outre Müller, le duo Mattheo Reinhard – Leo Braillard formera la première ligne. Reinhard est un darting centre qui, avec sa petite taille, ne craint pas non plus les duels physiques avec les lignes bleues. Alternant les différents niveaux internationaux, il s’adapte au rythme à la vitesse de l’éclair et fait preuve d’une grande perspicacité. Matteo Wagner est un autre nom qui revient souvent dans la bouche des initiés. L’attaquant a été l’une des révélations suisses lors du dernier CMJ, avec quatre buts en cinq matches. Ces deux dernières années, il a connu des difficultés en Liiga finlandaise, mais il semble avoir retrouvé sa forme avec les U20 de l’AIK en Suède.

POWERHOUSE LIAN BICHSEL ABSENT

L’absence de Lian Bichsel est une perte importante pour la Suisse. Pourtant, les Suisses sont connus pour leur talent défensif qui se manifeste à chaque fois. Cette année n’est pas différente.

Rodwin Dionicio (Anaheim Ducks) est le seul joueur de la liste à avoir été recruté par une équipe de la LNH. Le joueur de ligne bleue du Saginaw Spirit se prépare peut-être déjà pour son troisième WJC et il s’est certainement beaucoup développé au Canada. Sur le plan offensif, le Suisse fait partie des meilleurs de l’OHL et ne craint pas les duels. A ses côtés, son partenaire habituel Nick Meile sera posté. Le grand Meile se prépare peut-être aussi pour son troisième WJC et c’est le verrou de Dionicio.

En ce qui concerne le potentiel de la LNH, on observe principalement les performances de Daniil Ustinkov et Leon Muggli. Les deux hommes ne sont pas attendus en tête du classement pour le prochain WJC, mais ils ont le plafond le plus élevé de l’équipe. Ustinkov a déjà joué deux saisons avec les grands de la Ligue nationale, mais il rejoindra finalement les London Knights dans l’OHL. L’année prochaine (2024), il se présentera pour la première fois au repêchage et un troisième/quatrième tour se profile à l’horizon pour le joueur de ligne bleue. L’histoire d’Ustinkov est comparable à celle de Leon Muggli. Le capitaine des M18 montre des signes de son potentiel à l’EV Zug et était certainement sur la mobylette dans les semaines précédant son voyage en Suède.

Entre les poteaux, les choses se compliquent pour les Suisses. Ewan Huet (fils de Cristobal Huet) a joué aux côtés de Connor Bedard aux Regina Pats jusqu’à la saison dernière, mais il manque de longueur et d’agilité pour aspirer à une carrière dans la LNH. Les gardiens remplaçants Alessio Beglieri et Lorin Grüter ne sont pas non plus de grands noms.

La Suisse devrait normalement être en mesure de maintenir la Norvège derrière elle dans la lutte pour la relégation. Dans un bon jour, elle peut même prendre un point à la Slovaquie et à la République tchèque, mais les Européens ne dépasseront pas les quarts de finale.

Source : Eliteprospects

TEAM NORWAY

Il est toujours agréable d’accueillir un nouveau visage en première division. Pour la première fois depuis 2014, la Norvège fait son retour dans la cour des grands. Avec le retour de pas moins de 14 ( !) joueurs, l’équipe est en grande partie la même que celle promue de la Division 1A l’année dernière. Par ailleurs, c’est seulement la troisième fois dans l’histoire que les Norvégiens jouent au plus haut niveau.

MICHAEL BRANDSEGG-NYGARD ET LES AUTRES

Cela ne fait aucun doute. Tous les regards norvégiens seront tournés vers les performances de Michael Brandsegg-Nygard au cours de la semaine et demie à venir. Le jeune homme de 18 ans ailier est un choix de premier tour certain lors du repêchage de 2024 l’été prochain et a couru un sur un (dix matchs) depuis ses débuts au deuxième échelon en Suède. Ses statistiques sous-jacentes sont bien en deçà de celles de ses coéquipiers, mais en tant que fan de la Norvège, vous devez vous accrocher aux points positifs.

Petter Versterheim est l’attaquant le plus proche de Brandsegg-Nygard. L’année dernière, l’attaquant a déjà participé à la Coupe du monde des grands hommes et a fait boule de neige. A Mora, en Allsvenskan, le meilleur buteur norvégien réalise une saison solide et la pression des épaules offensives reposera principalement sur ce duo. Sinon, surveillez surtout Mats Bakke Olsen, Felix Granath et Noah Steen.

DE GRANDES INCONNUES AU PAYS DE LA LIGNE BLEUE

Eh bien. Qu’y a-t-il à dire sur une ligne bleue qui n’a jamais vu le jour ? Beaucoup ! Bien sûr, les Norvégiens ne vont pas mettre la pression sur les Etats-Unis et leurs autres compagnons de poule, mais si l’entraîneur Christer Nylund peut garder la défense fermée au point que les adversaires doivent se frayer un chemin à travers l’embarquement, un point pourrait bien être dans les cartes.

Parmi les joueurs de ligne bleue, le nouveau venu Stian Solberg est probablement le nom qui attire le plus l’attention. Lors du dernier WJC, il a joué plus de 23 minutes par match en moyenne et est le plus solide du groupe dans sa propre zone. À ses côtés se trouve sans aucun doute son complice Gabriel Koch. L’un des joueurs les plus âgés du CMJ, ce défenseur à double sens est un excellent complément à Solberg.

Entre les poteaux, le « parfait » Markus Rohnebaek Stensrud, qui n’a commis aucune erreur (5-0-0) lors du titre de champion en 1A et qui a également été nommé meilleur gardien de la ligue avec un sv% de .928. Il ne faut toutefois pas s’attendre à des miracles de la part du titulaire. Les remplaçants Sebastian Hagen Aarsund et Martin Holtet Lundberg peuvent également bénéficier de beaucoup de temps de glace, car les buts encaissés pourraient bien s’enchaîner.

Source : Eliteprospects

CALENDRIER DES MATCHS ET TV

Malheureusement, les matches ne seront pas télévisés aux Pays-Bas, mais ne vous inquiétez pas ! Tous les matches peuvent être regardés sur le site web de l’IIHF et sur YouTube.

Le programme de la poule B :

Mardi 26 décembre 2023
République tchèque – Slovaquie 12:00
Etats-Unis – Norvège 17:00

Mercredi 27 décembre 2023
Slovaquie – Suisse 12:00pm
Norvège – République tchèque 17:00

Jeudi 28 décembre 2023
Suisse – USA 17:00

Vendredi 29 décembre 2023
Norvège – Slovaquie 12:00pm
République tchèque – États-Unis 17:00

Samedi, 30 décembre 2023
Suisse – Norvège 17:00

Dimanche 31 décembre 2023
USA – Slovaquie 12:00pm
République tchèque – Suisse 17:00